Cœur de Rubis [histoire finie !^^]

NEWBIE

I ;

identity card

Nom;

Sexe;

Âge;

Clan et Rang;

II ;

behind the surface

Histoire; [10 lignes minimum.]

Première partie :

https://www.youtube.com/watch?v=qdj2A-qVTCA

Je m'appelle Rustique et je viens de naître. Ma mère ainsi que mon père était solitaire. J'étais leur enfant, mais je n'étais pas seule, j'avais cinq autres frères et sœurs, tous du même âge... Moi aussi j'avais leur âge, mais je ne l'acceptais pas. J'étais l'enfant de ma mère et de mon père. Moi seule. Ces petits "frères et sœurs" n'avaient fait que "s'incruster", arriver, gâcher la petite famille que nous aurions pu être... Mais seulement, ma mère avait eut six enfants et non un, ou plutôt une, MOI.

La vie est impossible lorsque vous êtes six. Surtout lorsque vous êtes chatons... Lorsque vous naissez, vous êtes aveugles, aveugles du monde. C'est donc par vos propres moyens que vous allez téter votre mère. Celle-ci peut vous aider à trouver, mais, quand vous êtes six à vouloir téter, sans vue, ni rien, comment voulez-vous trouver le chemin ? Alors, que, quand vous êtes seuls, personne ne vous embêtera, vous poussera, vous piquera les mamelles...

Je vivais une vie d'enfer, avec mes frères et soeurs qui, eux, étaient au paradis... Papa et Maman s'occupait de tout le monde, sauf de moi. C'était ce que je pensais car, il ne me délivrait pas assez d'intention, d'amour à mon gout... Cela faisait trois semaines que j'avais pointée le bout de mon nez vers l'enfer. J'avais enfin la vue et pouvais voir que mes frères et soeurs étaient bien cinq et qu'ils étaient tous moches. Je n'ai pas peur de dire ce mot car, c'est la vérité. Ils étaient horriblement moches et ne faisait que pleurer. Papa et Maman courait pour pouvoir les consoler, apaiser leurs souffrances. Ils ne faisaient que ça la journée pour cinq misérables chatons qui ne comprenaient rien à la vie. Papa s'en allait parfois, pour aller chercher à manger, pour que nous puissions nous nourrir. Enfin nous ne correspond pas. Moi et les cinq chatons buvions le lait de Maman. La nourriture que Papa attrapait était donc exclusivement pour lui et pour Maman. Cela ne plaisait pas, ah ça non ça ne me plaisait pas !
J'avais demandé à mes parents certaines distinctions de mes autres frères et soeurs. Ils avaient tout refusé. Le soir où je leur ai demandé si je pouvais manger avec eux ce que Papa rapportait de la chasse. Ils avaient naturellement refusé, me disant que si je voulais manger leur nourriture, il faudrait que j'arrête de boire le lait de Maman. Lorsque je leur avais ensuite répondu que j'acceptais sans problème cette condition, ma mère avait poussé un hurlement et mon père avait froncé les sourcils. Il m'a ensuite demandé d'un ton fâché de rejoindre mon lit avec mes frères et mes soeurs, qui eux, ne réclamaient pas de distinction. J'avais donc rejoins ma couche dans le silence, le moral au plus bas. Une autre fois, je leur avais demandé si je pouvais dormir avec eux, dehors, sous les étoiles. C'est leur couchette habituelle, alors que la nôtre se situait dans une ferme, surnommer la ferme de Gerboise. Papa avait bien évidemment froncé les sourcils et m'avait répondu que non, ce ne serait pas possible. Il m'avait aussi expliqué sur un ton sévère et cruel, que je ne dérangerais pas leurs vies privée, de quelques façons dont elle soit. J'avais dû aller me coucher avec mes camarades de chambres, que je détestais. Une autre fois, j'avais demandé à mon père si je pouvais aller chasser avec lui. C'était le matin et il allait partir. Comme les autres fois, il avait littéralement refusé et j'avais dû aller rester à la grange toute la journée, privée de manger et de boire. Apparemment, c'était car il ne fallait pas que je me distingue. Mais c'était une raison banale, puisque j'étais distinguée. Une autre fois, j'avais demandé à ma mère de pouvoir m'apprendre à sauter très haut et très loin, car, vous l'avez deviné, elle était la meilleure chatte du monde au saut. J'avais l'impression qu'elle priait. Ce qui est sûr, c'est qu'elle a regardé le ciel. Quelques secondes après, un de mes "frères" pleurait. Elle poussa un soupir de soulagement et accouru vers lui. Ce soir-là, mon père me dit qu'il fallait que j'arrête d'essayer de me distinguer. Il me dit aussi que comme j'avais encore demandé à Maman quelque chose, je ne boirais pas de lait ce soir-là. Je m'en fus donc dans la grange avant même qu'il ne m'est donné cet ordre là. Au-lieu d'aller au milieu de la grange, je suis allée tout au fond, le plus discrètement possible.

Le soir, Papa raconta une de ses histoires de guerres. Moi qui les écoutais avidement avant, je refusais totalement de les écouter. Je me mis donc en boule pour m'endormir, dans le remord. C'est en m'endormant que je compris quelque chose, J'ÉTAIS PAREILLE QUE LES AUTRES.

Deuxième Partie :

https://www.youtube.com/watch?v=Q5gLute342U

Depuis que j'avais compris que j'étais pareille que les autres, je ne me distinguais plus. Je faisais la gentille, et j'écoutais ce que me disais mes parents. J'avais l'air gentille mais je ne l'étais pas au fond de moi. Mon cœur me dictait de les tués, tous, jusqu'au dernier, mais je résistait. J'arrivais à résister tant que ce n'était pas difficile, que personne ne cherchait à m'étouffer, me reprocher. Je vivais en enfer et je m'appelais Rustique. La vie n'était qu'une poussière, une poussière qui formait une grosse tâche pour ceux qui vivaient pour elle. Les soirs, je rêvais, je rêvais à un ami. Un ami proche, qui me consolerait, m'apprendrait à pêcher... Cet ami était un mâle, au pelage noir et aux yeux bleu...Je rêvais que je jouais avec lui, que l'on chassait ensemble, que l'on se racontait des histoires...

J'avais déjà essayé de me suicider. Un chat n'est normalement pas fait pour se suicider, mais j'avais quand même essayer.Je ne l'ai pas fait car Neigia, la plus jeune, m'en avait empêcher, me disant que si je le faisais, elle irait le dire aux parents. J'avais donc arrêter, car si mes parents étaient au courant, j'aurais eu beaucoup de problèmes. Seulement, je crois que Neigia l'a dit quand même, car le soir, Papa m'a demandé d'aller à la grange et de ne pas en sortir jusqu'à ce que j'en ai l'autorisation. L'autorisation, il me l'a donnée, mais deux jours plus tard. Depuis, je n'ai plus essayé de mourir.

Ma seul raison de vivre, c'était

... Mon personnage imaginaire. Il m'avait tout appris, et je l'aimais. Je n'avais que deux lunes, mais j'avais déjà un amant. Un bel amant inexistant. Il n'existait, mais que dans mes pensées...Je ne vivais que grâce à lui. Ce n'était que là que je remerciais mes parents d'avoir eu six enfants. Car sans l'enfer, je ne l'aurais jamais rencontré. Il était beau. Il connaissait mon prénom, sans même que je ne lui ai dit. Je ne connaissais pas le sien, et j'ignorais qu'en lui demandant cela allait être fatal pour lui ainsi que pour moi...

C'est ainsi qu'un jour, où je jouais avec mon amant, que je lui demandais son prénom. Il m'avait alors répondu qu'il s'appelait "personne" et que si je voulais savoir son vrai prénom, il faudrait que je lui prouve que je l'aime. Je lui avais déjà répété cinquante fois que je l'aimais. Visiblement, cela ne lui suffisait pas. Je suis donc allée chercher à la plus haute branche d'un chêne une feuille, avec une paroi aussi fine que des coussinets. Je pensais que cela lui suffirait, mais ça ne lui suffisait pas. C'était le soir et j'avais passée la journée a grimpé dans les arbres et aller chercher la feuille... Nous nous étions donc couchés à la belle étoile pour s'endormir. Nous étions bien tous les deux à dormir dehors. Un bruit nous réveilla. Je me réveillais en sursaut. Mon amoureux fit de même. Que se passait-il ? Puis un chat, puis deux, sortirent des fourrés. Ils avaient l'air mécontent, surtout contre moi. Puis je les reconnut : Papa et Maman. Ils s'avancèrent, la rage dans les yeux. Puis ils ne s'attaquèrent pas à moi, mais à mon ami. A lui. Il le griffèrent, le mordirent. Ils étaient cruels contre un chaton de deux lunes. Il m'appela, me demandant de l'aider. Je faisais de mon mieux mais ne pouvait l'aider. Il était sur le point de mourir, il saignait de toute son pelage, sa queue avait été tranchée. Je n'écoutait pas ce que me criait mes parents, je ne pouvais pas... Puis mon chat qui me coutait le plus cher me murmura :
"Je sais que tu m'aimes, je vais donc te dire comment je me nomme. Je me nomme Nuage de Bourgeon, et je suis en fuite de mon clan."
Puis il me quitta, il n'y avait plus personne. J'étais seule. J'étais de nouveau dans ma grange, réveillée en sursaut. J'essayait en vain de m'endormir. C'était impossible.

avait disparu... A jamais...

Enfin je le croyais...

Troisième Partie :

https://www.youtube.com/watch?v=O4_mgOxrGbY

Papa et Maman nous avait donné rendez-vous le soir. Ils voulaient nous annoncer quelque chose "d"important". Presque tout le monde avait attendu ce moment avec impatience. Tout le monde, sauf moi. Il y avait longtemps qu'il ne disaient que des choses ennuyeuses. J'avais maintenant cinq lunes et la seule chose importante qu'ils avaient dit c'était lorsque j'étais née et qu'ils me trouvaient mignonne. Tous mes frères et sœurs attendaient avec impatience le soir, se demandant qu'est-ce qui pouvait être aussi important... La plus jeune, Neigia rougissait à chaque fois que l'on lui demandait ce qu'elle pensait qui devait être aussi important. Elle répondait un petit "Je ne sais pas..." plutôt bredouiller. Le soir arriva (enfin), tout le monde alla s'installer devant les parents. Ils avaient l'air fière. Puis mon père commença à parler :
"Bonjour les enfants, vous êtes en âge d'apprendre à chasse, -il me regarda un sourire dans le coin des lèvres, pas un sourire gentil, mais un sourire coquin- vous allez donc avoir des mentors. Maman et moi ne formons qu'un seul mentor, nous prendrons donc qu'un seul élève. -Il me regarda et je crus qu'il voulut dire "Ce sera toi notre apprenti", j'avais tort- Ceux qui ne serons pas nos élèves, vous aurez quand même des mentors, des amis à nous. Notre élève sera : Neigia."
Neigia était toute souriante. Les autres aussi, heureux que ce soit la plus jeune qui est été choisie. C'était la plus jeune car c'était celle qui était née la dernière. J'étais plus grande qu'elle de cent quarante-sept secondes. Tout le monde souriait, sauf moi.

C'était la nuit. J'avais pris une décision. Fuir. Je ne pensais qu'à ça. Fuir. Mais je ne pouvais pas le faire comme ça, sans rien avant. J'avais aussi décidé de tuer. Tuer. Tuer ma petite sœur, chouchoute des parents. Et je ne changerais pas d'avis. J'avais décidé et je ne changerais pas d'avis. Je me levais. Tout le monde dormait. Tant mieux. Je me dirigeais vers ma sœur. Puis, je fermais les yeux. Levait la patte. Et la laissa tomber sur le poumon de celle-ci. Puis, avant qu'elle ne se réveille, je sortit mes griffes et les planta dans le coeur de ma petite sœur. Puis je m'enfuie.

J'étais loin de m maison, mais j'entendais le cri de mon père et les pleurs de mon père. Je perdais le contrôle de moi-même. J'avais tué. J'avais cinq lunes. Je m'appelais Rustique et j'avais raté ma vie.

Cela faisait trois jours et quatre nuits que je vagabondait sans raison, la faim au ventre, la soif à la gorge. Je m'étais effondrée. Pour toujours. Enfin, c'était ce que je pensais.

Lorsque je me réveillais,je sentais une langue me lécher la tête, comme pour me redonner la vie. J'ouvrais les yeux. Puis les refermais. Puis les rouvrait. Non, je ne rêvais pas. J'avais en face de moi un chat jeune, âgé d'autant de lunes que moi, au pelage noir et aux yeux bleus. Et pourtant, je ne rêvais pas. C'était lui. Comment était-ce possible ? Puis le chat me parla :
"Tu t'es réveillée ? C'est pas trop tôt ! C'est pas grave ! Tiens, prend du campagnol, c'est très bon tu verras."
Il me donna le "campagnol". C'était bon, et c'était bizarre car ça n'avait pas le même gout que le lait de maman. Je le remerciais. Mais ce n'était pas mon personnage imaginaire car il me demanda :
"Comment t'appelles-tu ?"
Je lui répondit que je m'appelais Rustique. Il trouvait ça joli. C'était la fin de notre première rencontre et je l'aimais...

Nous vivions heureux. Il m'avait appris à chasser, grimper dans les arbres. Je l'aimais, il m'aimait. Tout était bien...

J'avais sept lunes et lui en avait dix. Il me l'avait dit. Puis, un jour, je voulais savoir son prénom, car il ne me l'avait jamais dit. Il m'avait alors répondu qu'il s'appelait "personne" et que si je voulais savoir son vrai prénom, il faudrait que je lui prouve que je l'aime. Je lui avais déjà répété cent fois que je l'aimais. Visiblement, cela ne lui suffisait pas. Je suis donc allée chercher à la plus haute branche d'un chêne une feuille, avec une paroi aussi fine que des coussinets. Je pensais que cela lui suffirait, mais ça ne lui suffisait pas. C'était le soir et j'avais passée la journée a grimpé dans les arbres et aller chercher la feuille... Nous nous étions donc couchés à la belle étoile pour s'endormir. Nous étions bien tous les deux à dormir dehors. Un bruit nous réveilla. Je me réveillais en sursaut. Mon amoureux fit de même. Que se passait-il ? J'avais peur, la scène me rappelait celle de mon rêve. Puis un chat, puis deux, sortirent des fourrés. Ils avaient l'air mécontent, surtout contre moi. Puis je les reconnut : Papa et Maman. Ils s'avancèrent, la rage dans les yeux. Je pleurais, leur demandant de nous laisser tout seul. Puis ils ne s'attaquèrent pas à moi, mais à mon ami. A lui. Il le griffèrent, le mordirent. Ils étaient cruels contre un chaton de deux lunes. Il m'appela, me demandant de l'aider. Je faisais de mon mieux mais ne pouvait l'aider. Il était sur le point de mourir, il saignait de toute son pelage, sa queue avait été tranchée. J'avais cette fois écouté ce que me disait mes parents. Ils me disaient qu'ils tueraient mon ami, car j'avais tué leur fille. Ils m'en voulaient. Puis le chat qui me coutait le plus cher me murmura :
"Je sais que tu m'aimes, je vais donc te dire comment je me nomme. Je me nomme Nuage de Bourgeon, et je suis en fuite de mon clan."
Puis il me quitta, il n'y avait plus personne. J'étais seule. Cette fois je n'étais dans la grange, à me réveillée d'un mauvais rêve. J'étais dans une clairière, assise à côté de mon bien-aimé qui avait disparu à tout jamais... Et cette fois il avait vraiment disparu à tout jamais...

Quatrième partie :

https://www.youtube.com/watch?v=DgB8Dmumgaw

J'en voulais à tous le monde. Même à Nuage de Bourgeon... Je ne pouvais plus vivre... J'en étais incapable... Et vous dans cette situation qu'aurez vous fait ? Rien, vous auriez eu envie de mourir, disparaître à jamais. Mais malheureusement cela était impossible, plus rien n'était possible, à part continuer à avancer. C'était d'ailleurs ce que je faisais à longueur de journée, j'avançais... Rien ne m'arrêtais...
Et puis, un jour, la faim au ventre et la fatigue au corps, je m'écroulais, évanouie...

Le noir absolue, le mal autour de moi. Derrière moi , il y avait des chats morts, des fantômes, et devant moi il y avait des apprentis, des chats débordant de joie. Il y avait derrière moi la mort, et devant moi la vie. Un grand gouffre les séparais. J'étais sur la "rive" de la mort, et au moins dix chats me séparait de l'autre rive. Derrière moi, les chats mort se relevaient, sans être vivant pour autant. Je ne pouvais pas rester de ce côté. Je criais et, je sautais, avançant dans le vide...

J'ouvrais les yeux. Je me trouvais dans une tanière. Il y avait plusieurs chats à côté de moi. Ils portaient des herbes. Un des chats me dit en me voyant :

- "Salut ! Contente que tu te sois réveillée ! Nos guerriers t'ont trouvée dans le coma au milieu d'un champ. J'espère que tu vas mieux ! Tu es sûrement solitaires car aucun clan n'a perdu de chaton. Quel jour es-tu née ? Nous pensons que tu as tout juste six lunes. Avons nous bon ?

- Euh oui, miaulais-je doucement, je dois avoir six lunes et je suis née le jour de pleine lune, tu vois quand c'est ?

- Bien sûr, donc... Tu auras six lunes demain ! Autrement dit tu deviendras apprentie demain ! Mais avant je vais t'expliquer le déroulement du clan. Il y a quatre clans dans la forêt. Chaque clan est constitué de plusieurs chats et de plusieurs rangs... Mais pour éviter de t'embrouiller on va en rester là et je t'expliquerais tout plus tard !"

Rustique devint donc Nuage de Rubis, elle devint une apprentie très sérieuse, malgré ses erreurs de petite, qu'elle se culpabilisa toute sa vie...

Physique;

Caractère; [5 lignes minimum.]

III ;

who are you ?

Puf;

Comment es-tu tombé sur le forum ?

Pourquoi t’y es-tu inscrit(e) ?

Code;

[Okaya by GreenLeek.]

MEMBRE ;; a part entière !

MEMBRE ;; a part entière !

Bienvenue (=

PNJ ;; once upon a time

Bienvenuue ! ^^
Jolie histoire, on attend la suite.

NEWBIE

Hooy =3

Invité

Coeur de Rubis ! :DD

Invité

Welcome =D

NEWBIE

Mercii tout le monde ! Ca fait plaisir !

PNJ ;; once upon a time

Aloors ? Quoi de neuf ici ? x)

NEWBIE

je vais faire la 4e partie !

Ouch ! * se demande combien de partie elle va faire...*

ADMINE ;; cherry

Weelcome ! :D
Fan de Mozart je vois ^_^

MEMBRE ;; a part entière !

Welcome
Bon amusement ici =D

NEWBIE

Merci tout le monde !!

Perle de Lobélia : Comment tu as deviné ? xD Ouais j'adore !

Invité

Bienvenuuue <3

NEWBIE

Désolé pour la fin de l'histoire baclée ! ^^

ADMINE ;; cherry

Il reste le caractère alors ^^

PNJ ;; once upon a time

Alors ? On attend la fin. (:

MEMBRE ;; a part entière !

PNJ ;; once upon a time

Caution by ; GreenLeek.
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Direction les archives.

Si toutefois l'auteur de cette présentation souhaite la reprendre en main, qu'il contacte un membre du staff.